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Le premier livre d'éducation non-sexiste à l'usage des garçons ! Depuis des décennies, on ne cesse de réfléchir sur le sens de la féminité, sur l'éducation de nos filles, que l'on veut voir fières et émancipées; on lutte à l'école, dans la rue, dans les familles, pour leur donner les mœmes chances qu'aux garçons. Mais on continue d'élever nos fils dans le mœme moule qu'avant, comme si on pouvait déconstruire le sexisme sans s'interroger sur la masculinité ! Grdce à des analyses d'experts, des témoignages et des informations pratiques, Aurélia Blanc décortique les stéréotypes et rassemble tous les outils pour aider les parents à élever leur garçon dans une société qui promeut l'égalité ! Toutes les astuces pour : Se déconditionner soi-mœme du « sexisme bienveillant » véhiculé par l'entourage et notre propre éducation En finir avec les injonctions : Un homme ça ne pleure pas , ça ne fait pas de sentiment , ça collectionne les conquœtes , ça fait passer son travail avant ses enfants .. L'armer face aux pressions sociétales : « c'est un truc de fille »... Lui apprendre le respect de soi et des autres : la question du consentement

Mini-format tout-carton pour petites mains curieuses, la collection Tip-tap se poursuit avec ce quatrième titre, qui offre au jeune enfant un voyage à travers les vœtements du monde. L'album propose des vis-à-vis simples qui font parler. à gauche et à droite, des personnages vœtus de manières très différentes et des contrastes : vœtement chaud ou léger, de sport ou de cérémonie, professionnel ou de plage... Idéal pour parler des autres et de soi. L'imagier-voyageur se termine sur une double-page réunissant tous les vœtements de l'album en nous rappelant que, mœme vœtus différemment, nous habitons une mœme planète.

Mini-format tout-carton pour petites mains curieuses, la collection Tip-tap se poursuit avec ce cinquième titre, qui invite le jeune enfant à voyager parmi les métiers. L'album propose des vis-à-vis simples qui font parler. à gauche et à droite, des personnages qui exercent des activités différentes, dans des lieux variés : peintre, couturier, infirmier, agriculteur, ouvrier, cuisinier... Deux images en opposition, en contraste ou en complément : travail dans un bureau ou en plein air, seul ou en équipe, avec des couleurs ou avec des saveurs... C'est vivant et ouvert à des métiers tels qu'on les pratique ailleurs... Les images parcourent le monde avec des couleurs lumineuses et sensibles comme Judith Gueyfier sait les créer. Et l'imagier-voyageur se termine sur une double-page réunissant tous les métiers de l'album, en nous rappelant que nous habitons une même planète.

La 4e de couverture indique : "Matthieu Fabas a tué parce qu¹il voulait prouver qu¹il était un homme. Un meurtre inutile, juste pour que son père arrête de le traiter comme un moins que rien. Verdict, 15 ans de prison. Le lendemain de sa libération, c¹est le père de Matthieu qui est assassiné et le coupable semble tout désigné. Mais pourquoi Matthieu sacrifierait-il une nouvelle fois sa vie ? Pour l¹inspecteur Cérisol chargé de l¹enquête et pour ses hommes, cela ne colle pas. Reste à plonger dans l¹histoire de ces deux hommes, père et fils, pour comprendre leur terrible relation. Derrière cette intrigue policière qu¹on ne lâche pas, ce nouveau roman de Benoît Séverac nous parle des sommes de courage et de défis, de renoncements et de non-dits qui unissent un père et un fils cherchant tous deux à savoir ce que c¹est qu¹être un homme."

En 1759, peu avant Noël, à Paris, trois hommes sont retrouvés égorgés et la langue arrachée. Au même moment, des inconnus veulent ressusciter la fête des Fous, des convulsionnaires se roulent sur le sol des églises et une jeune fille pousse des cris d'oiseau. Le mystérieux chevalier d'Eon, membre du Secret du roi intervient. Le commissaire aux morts étranges garde la tête froide et mène l'enquête.