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25 recettes sucrées ou salées, pour réinventer la salade !Le principe : une salade disposée en jolies couches ultra-colorées, dans des bocaux trendy et si faciles à transporter !Le résultat : des jars gourmandes et pratiques: l'alliance parfaite du plaisir des yeux et des papilles ! A emporter façon lunchbox ou à servir à ses invités, pour se régaler en famille ou entre amis !

450 images à l'encre noire et à l'aquarelle, organisées selon les classements actuellement en vigueur. Ils témoignent de la diversité et de la beauté du vivant : mammifères, insectes, arachnides, arbres, mousses, légumes et lichens. Associé aux images, le texte mentionne le nom commun, le nom latin, l'espèce, la classe ou le genre. ?Electre 2019

Octobre 1812, Napoléon entre dans Moscou, mais la ville en proie à de nombreux incendies, il décide de rebrousser chemin et ordonne la retraite de ses troupes. L'empereur donne là le coup d'envoi de la retraite de Russie, l'une des plus grandes "boucheries" de l'Histoire. Deux cents ans plus tard, Sylvain Tesson, accompagné de quatre de ses amis, décide de commémorer cette tragique épopée : c'est en side-car qu'ils rallieront Paris depuis Moscou, 4 000 kilomètres à la mémoire des soldats de la Grande Armée. Juchée sur des Oural, les célèbres motos soviétiques, cette équipée sauvage est bien décidée à affronter le froid comme les fantômes de l'Histoire. Cette édition du récit de Sylvain Tesson est illustrée de plus de 100 clichés inédits de Thomas Goisque immortalisant les moments-clés de cet incroyable périple.

A peine entré dans l'exposition que le Centre Pompidou consacre à Francis Bacon, Yannick Haenel ne voit plus rien : une migraine ophtalmique l'oblige à passer plusieurs heures allongé sur le lit de camp qu'on a dressé pour lui dans le musée. En retrouvant ses esprits, Yannick Haenel se met à parcourir l'exposition en proie à des états d'intensité contradictoires, qu'il raconte comme une aventure initiatique. Est-il possible de ressentir intégralement la peinture, de la vivre comme une ivresse passionnée ? A travers le face-à-face avec plusieurs tableaux comme Odipe et le sphinx ou le triptyque consacré à la mort de George Dyer (l'amant de Bacon), le livre détaille les impacts de la peinture de Bacon sur celui qui en fait l'expérience : sa violence ouvre alors l'auteur à des séquences de sorcellerie de son enfance africaine qui vont lui donner une clef pour traverser cette épreuve. Mais au fil de la nuit on accède au coeur d'une odyssée heureuse ; en tournant dans son labyrinthe de sensations extrêmes, Yannick Haenel dévoile un aspect moins connu de la peinture de Bacon : la sensualité de ses couleurs, la fraîcheur sexuelle de son bleu. L'expérience de jouissance culmine dans une illumination scandée par la dernière chanson de David Bowie lorsque l'auteur, qui a demandé à ce qu'on coupe toutes les lumières à trois heures du matin, évolue dans le musée avec une lampe torche à la main et danse extasié en voyant la peinture sortir du mur, comme à Lascaux.